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Hochschule Fresenius onlineplus, Allemagne
« En tant que juge, je suis fasciné par cette image saisissante qui captive mes pensées avant même d'en connaître l'histoire, avec ses couleurs vives et sa composition dynamique de photo de rue. La façon dont les enfants jouent et pique-niquent sur l'asphalte brut, encadrés par des lignes de stationnement et des passages piétons, crée un contraste saisissant que j'adore.
Le récit du photographe révèle la puissance tendre de cette scène, où les enfants se réapproprient une parcelle d'enfance dans un décor bétonné improbable. Ce moment spontané et sincère, où le jeu partagé transcende la couleur de peau, l'origine et la pauvreté, transforme la pénurie en un esprit communautaire vibrant, apportant une profonde résonance émotionnelle qui me touche. »
Université de la Sorbonne Nouvelle
« Hors du flou, de la vivacité et de l’énergie parisienne, hors du temps, suspendus entre la langue de Goethe et le pays neutre, le lac de Constance et sa population font de cet espace un monde vibrant.
Non pas des rues bruyantes, des magasins, un flot imprenable, mais plutôt le calme, la tranquillité, une vie douce.
Ce quotidien fait battre le cœur des touristes autant que celui des passants habitués. »
« En tant que juge, une photo très chargée peut distraire mon attention, ou au contraire la captiver. Celle-ci incarne magnifiquement la seconde option : une capture d’image suggestive qui a retenu mon attention pendant un long moment, révélant de nouveaux détails à chaque nouveau regard et évoquant des émotions fortes qui m’ont touchées droit au cœur. La photographe a évoqué un contraste poétique entre l'énergie parisienne et le calme vibrant du lac de Constance, suspendu dans la tranquillité, où la douceur de la vie quotidienne revigore le cœur des touristes comme des locaux, ajoutant une profondeur subtile et réfléchie, enrichissant cet instant à la fois vivant et suspendu dans le temps. »
Centrale Supelec - Gif sur Yvette
« Au Népal, pour un voyage humanitaire avec mon association étudiante, j'ai croisé la route de ce moine bouddhiste gravissant les marche de la célèbre Buddha stupa de Kathmandu. Cette photo nous rappelle à quel point le monde qui nous entoure change selon l’endroit où nous nous trouvons. Le voyage permet cette ouverture culturelle et la photo permet de la transmettre. »
« En tant que juge, cette image captivante d'un moine bouddhiste gravissant les marches du stupa de Bodnath à Katmandou m'a captivé par sa composition s’étayant sur plusieurs niveaux : ses yeux omniscients qui regardent au loin, le flottement des drapeaux de prière colorés et le vol de pigeons qui animent le dôme blanc… Les éléments d’ordre culturel et spirituel apportent une sensation de sérénité, évoquant la paix et l'émerveillement… ce qui en fait une œuvre remarquable. Le récit du photographe qui a capturé ce moment lors d'un voyage humanitaire avec son association étudiante, nous rappelle que le voyage favorise l'ouverture culturelle qui a son tour peut être transmise à travers une photo, renforçant la profondeur réflexive de l'image. »
Université Claude Bernard - Lyon 1
« Cette photo illustre fidèlement, par ma pratique du Parkour, le monde qui m'entoure, dans ma chère ville de Lyon.
Plus précisément, cette photo a été prise au sein même de mon lieu de vie étudiant, l'université Lyon 1 (campus de la Doua), reconnaissable par son architecture typique des années 50 !
Une petite inspiration de Joy Boy Aka Luffy (One Piece) pour finaliser cette photo au-dessus de ces deux imposantes passerelles. »
« Cette photo dynamique de parkour capte l'attention en transmettant des notions de mouvement et de hauteur. La silhouette du traceur en plein saut se détache sur un ciel nuageux, encadrée par la convergence des bâtiments universitaires et des passerelles, créant une exaltante perspective urbaine. J'aime l'énergie et la liberté qu'elle dégage, mêlant athlétisme et architecture du quotidien. Le récit du photographe lui donne vie, illustrant sa pratique du parkour dans la ville de son cœur à Lyon, et plus précisément sur le campus de la Doua de l'Université Lyon 1, avec son style emblématique des années 1950, inspiré par Joy Boy (Luffy de One Piece) pour capturer cet instant audacieux au-dessus des imposantes passerelles. »
Parmi les participant·es du monde entier, le super-talentueux lauréat de la Photographie Étudiante de l’Année 2025 a remporté :
Une expérience photo unique pour booster sa carrière : statut d’assistant·e sur une séance photo (sur place et tous frais payés) avec Matt Porteous, photographe de la famille royale britannique et de la protection des océans.
6 mois de mentorat personnalisé
Un appareil photo Nikon Z9 haut de gamme
Une licence Adobe Creative Cloud de 12 mois
Les lauréat·es de nos trois catégorie remportent :
Un Nikon Z50II + un kit VR 16-50 mm
Des produits Ocean Culture Life en édition limitée
Une licence Adobe Creative Cloud de 3 mois
Photographie étudiante de l’année 2025 avec UNiDAYS et
Ce qu'en pense Christian :
« Ce qui rend cette photo particulièrement poignante est la contradiction entre ses éléments et son contenu. L’environnement n’est pas idyllique, ce n’est qu’un dallage en béton. Et pourtant, il quelque chose de doux et d’attachant est présent. Des enfants jouent, pique-niquent, et vivent entre les places de parking, le passage piéton et le tout le béton. Ils revendiquent une part de leur enfance dans un lieu qui n’est pourtant pas aménagé pour leur plaisir.
Cette puissance tranquille leur permet de donner des couleurs à la grisaille. Rien n’est mis en scène, rien n’est parfait, et c’est précisément ce qui rend la photo si sincère. Couleur de peau, origine, pauvreté : rien de tout cela n’a d’importance dans la notion d’un jeu partagé. Les enfants font de leur mieux avec le peu qu’ils ont, transformant la pénurie en communauté. »